quarta-feira, 10 de outubro de 2007

Agatha Christie

Il fait froid aujourd’hui. Mes pieds sont gelés. Je ne sais pas comment expliquer ce temps. C’est la folie du temps, peut-être. Quant à moi, je suis heureux. J’aime bien le froid, surtout quand le ciel est sombre et quand il ne pleut pas. Je me rappele quand je montais le mur d’une maison où j’habitais, pour voir les tempêtes se former. Les gros nuages gris. Le vent fort qui soufflait. Les oiseaux en fuite. C’était le vrai plaisir. Je me sentais vivant là-haut. La pluie c’est bien quand on peut rester à la maison. Je me souviens d’un jour formidable de ma vie quand je finissais la lecture d’un livre d’Agatha Christie. C’était Murder on the Orient Express, et pendant que je le lisais il tombait un orage dehors. Dans le livre, c’était la neige qui tombait, pendant que Poirot donnait les dernières explications sur l’assassinat de Ratchett. Ç’a été un moment magique. J’était encore un adolescent, et le plus grand plaisir de ma vie c’était la lecture de romans policiers. Je remercie beaucoup à Stella Carr, une auteur de livres pour la jeunesse, qui m’a introduit dans ce monde merveilleux des histoires de détectives. Ensuite, je remercie à Marcos Rey, à mon avis, le grand maître de l’aventure urbaine et des histoires d’investigation dans la littérature pour les adolescents au Brésil. Mais l’auteur qui m’a séduit le plus ç’a été l’anglaise Agatha Christie. Avec elle j’ai découvert l’émotion de pénétrer vraiment dans un monde mystérieux, où tout le monde peut être un assassin. Ce qui est le plus intéressant c’est que la mort dans ses livres n’est pas une chose triste. C’est simplement ce que le lecteur attend avec impatience et qui doit être solucionée à la fin du livre. J’ai lu presque toutes les histoires d’Agatha Christie et j’espère pouvoir lire celles que je n’ai pas encore lues, autant que celles que je ne me rapelle plus la fin.
Belo Horizonte, le 06 octobre, 1999.


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